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 |  Sujet: Sage Logan Mink  Mar 13 Avr - 17:48 | |
| ‹ Une amnésie romancée prend la place des occasions perdues. › Georges Henein.
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Sage Logan Mink
Surnom ; Non, désolé.
Âge ;19 ans
Date de naissance ; 30 Novembre 1991
Lieu de naissance ; Paris
Orientation sexuelle ; Hétéro
Statut social ; En couple, à ce qu’il parait.
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“ I know you love me  „ J’étais un menteur et un nombriliste de première. Je voulais que tout le monde me regarde, que tout le monde m’adore. J’ai eu de la chance de ne pas me mettre tout le monde à dos pendant ma première année à Dover. Parce qu’un mytho, ça énerve vite les gens. Je suis soulagé d’avoir perdu cette manie. Même si malheureusement, j’ai perdu la mémoire. J’étais fêtard, j’aimais draguer, j’étais un grand joueur, j’aimais faire des paris insensés, j’osais tout faire, je relevais les défis, je n’étais pas gêné de me retrouvé en caleçon après un strip-poker, j’aimais mentir bien sûr et je ne me souciais pas du mal que je pouvais infliger aux gens. Mais cela à bien changer. Je suis devenu prudent, peut-être un peu trop sage, dragué ne m’intéresse pas du tout, j’esquive les paris et les défis et je ne joue plus au strip-poker, beaucoup trop pudique pour ça. Mais je suis devenu attentionné, doux et aimant. J’aime faire plaisir aux gens et faire de mon mieux pour qu’ils se sentent bien. Je culpabilise quand je fais quelque chose de mal. Pour moi, les gens sont tous bon, appelez ça la naïveté. Je suis la personne à qui on aime confier ses problèmes sans risque d’être jugé. Je suis devenu meilleur, cela me plait. Mais ce qui m’embête, c’est de faire souffrir Càllypso parce que je suis incapable de me souvenir de ce que j’ai vécu avec elle…
“ Once upon a time... „
Que savez-vous de la mythomanie ?
De la vantardise ? Non, c’est bien plus grave que ça. Celui qui enjolive ses histoires où qui invente des exploits sportif est conscient qu’il ment. Il est conscient de mentir pour attirer l’attention des gens, pour qu’on l’admire. Le vantard veut bien admettre qu’il raconte n’importe quoi, un mythomane, non. Le mythomane, c’est celui qui s’invente une vie, souvent plus belle que celle qu’il devrait vivre. Parce qu’il ne se contente pas de raconter son passé, il agit comme tel devant les gens. Bien sûr, dès que ces personnes ont le dos tourné, il fait quelque chose en contradiction avec ses propos. Mais là encore, il ne voudra pas admettre avoir mentit et si vous le prenez sur le fait, il vous sortira une excuse tout à fait saugrenue, ou plausible. Mais peut importe l’excuse, il y croira dur comme fer. Le mythomane a besoin de ces mensonges, pour existé, car sans eux, il ne serait rien.
Mon père était un mythomane, et je le suivis sur cette voie. Heureusement pour mon entourage et moi, l’accident à tout effacé.
J’ai vécu à Paris pendant les 18 premières années de ma vie. Mon père était un mythomane très fantasque qui me racontait des histoires qu’il affirmait être vraie avant d’aller me coucher. Au début, j’y croyais. Mais plus je grandissais, plus je comprenais que tout ne pouvait pas être vrai et que si il insistait, c’était parce qu’il me prenait encore pour un petit garçon. Je ne savais pas qu’il était sur le déclin. Je ne savais pas que ses histoires étaient une forme de maladie, car elles me semblaient normales à mon âge. Je crois que ma mère l’a toujours su. Pourtant, elle ne l’a jamais quitté. Enfin, elle ne l’aurait jamais quitté si ce n’était pas arrivé. J’admire ma mère et son don pour deviner le vrai du faux. Je n’ai jamais réussis à lui mentir, et quand j’ai commencé à virer comme mon père, elle me regardait dans les yeux et me disait que j’avais tort. Une partie de moi défendait le contraire, cette partie de moi parlait, tandis que l’autre se taisait en sachant pertinemment qu’elle avait raison. Mon père refusa d’aller chez le médecin quand ma mère, au début de leur mariage, s’inquiéta de sa pathologie. Elle insista longuement, sans jamais le voir céder. Alors elle a laissé tomber et a décidé de vivre avec. L’amour me diriez-vous. Elle ne dit à personne que son mari souffrait de mythomanie. Mais certaines personnes s’en étaient bien rendu compte. Il y a des choses qu’on ne peut pas caché pendant 12 ans. A 6 ans, un garçon se moqua de moi parce que ce que je racontais sur le boulot de mon père étaient des mensonges, que tout le monde dans la classe savaient que mon père n’était jamais allé sur la lune avec ce cher Neil Armstrong, que mon père était fou. J’ai relevé le menton fièrement en affirmant que mon père ne racontait pas de mensonge que c’était un homme bien et honnête. La naïveté de l’enfant que j’étais me fait sourire à présent, bien que j’en sois plus proche aujourd’hui que ces 7 dernières années. J’ai découvert que mon père mentait le jour de mes 9 ans. Après avoir découvert qu’il m’avait mentit à propos du kangourou que me rapporterai tante Elisa en revenant d’Australie pour fêter avec moi mes 9 ans. Parce qu’il n’y avait pas de tante Elisa qui vivait en Australie. Ce fut ma grand-mère qui m’annonça soucieusement que mon père était fils unique. Tante Elisa était le fruit de son imagination, la petite sœur qu’il n’a jamais eut. Ce fut le pire jour de ma vie, car ce soir là, je me rendis compte que depuis ma naissance, il ne me racontait que des mensonges. Inventant des voyages qu’il n’a jamais fait, des métiers qu’il n’avait jamais exercé.
Plus tard, j’appris à reconnaitre les mensonges de mon père. Mais il s’avéra rapidement que sa vie n’était qu’un tissu de mensonge. Il s’était créé une vie, pour plaire à maman et pour me plaire, pour exister aux yeux de quelqu’un. Je suis alors devenu capable de deviné quand les gens me mentaient, je n’avais de difficultés qu’avec mon père qui s’enfonçait de plus en plus profond dans ses histoires.
Et puis dans ma 12e année, il s’est fait tiré dessus par un dealeur à qui il devait de l’argent. Mon père s’était embarqué dans une histoire de drogue. Il en avait acheté, inventant une histoire farfelue pour ne pas payer immédiatement. Il la ramena à la maison, essayant de faire passer ça à ma mère, il voulut la lui faire goûter, mais elle refusa. Et quand il s’est tourné vers moi, j’ai vu maman se fâcher en le menaçant si il osait forcer son fils à prendre cette drogue. Mon père insista auprès de moi, mais ce fut maman que j’écoutais. Mon père ne pouvait pas avoir raison, alors que ma mère si, bien sûr.
Il avait dit à maman qu’il allait à un entretien d’embauche très important – en clair, il allait aux putes. Et sur le chemin, il rencontra son dealeur qui attendait toujours que mon père paye ce qu’il avait prit. Aussitôt, mon père s’est mit à fabulé comme quoi il devait faire une erreur et qu’il n’avait jamais acheté de drogue. Il racontait qu’il était un homme bien qui ne ferait jamais rien de tel, il est entré dans le personnage de ma mère, racontant sa vie comme si c’était la sienne et affirmant que jamais il ne lui avait acheté de drogue. Croyant que mon père se foutait de sa tronche, l’homme sortit son flingue et abattit mon père qui – en apercevant l’arme – à continué d’affirmer qu’il n’avait pas prit de drogue. Jusqu’au bout, mon père cru que c’était une erreur, qu’il avait été tué pour un malentendu. Mon père était vraiment atteint.
J’avais beau le haïr pour ses mensonges, une grosse part de moi l’aimait beaucoup. J’ai été gravement atteint par la mort de mon père. Je suis tombé malade, j’ai fais un début de pneumonie. Et quand j’ai commencé à guérir, je me suis mis à raconté les rêves que je faisais la nuit. Je les enjolivais, mais j’arrivais à me persuader que j’avais vraiment rêvé cela. C’est à partir de ce moment-là que ma mère compris que j’allais suivre les traces de mon père. Elle m’a supporté 6 ans. Puis j’ai décidé d’aller vivre à Dover parce que là-bas, je ferai des grandes choses. Attristé par ce que je racontais, ma mère me laissa quand même partir, elle connaissait Dover, elle savait que cette ville était toute petite, insignifiante et que son fils ne feraient jamais les grandes choses qu’il lui avait promise. Parce que si mon mère mentait sur sa vie, je mentais sur mes études et mon avenir. Je lui affirmais que tout allait aller beaucoup mieux. Quand je revenais trop tard d’une soirée, je lui affirmais que j’étais allé en bibliothèque et j’étais même capable de lui parler du livre que j’aurai pu lire là-bas, simplement parce qu’il m’arrivait parfois d’entré dans une bibliothèque et de lire un livre.
Je suis donc parti pour Dover, où j’ai rencontré Ian qui a vraiment cru que je venais de France mais que j’étais originaire du Portugal. Je n’ai pourtant rien d’un portugais. Je le soupçonne d’avoir dis oui à tous ce que je disais pour avoir la paix. Cela ne m’étonnerai pas le moins du monde. J’ai rencontré également Càllypso. Une jeune fille naïve qui croyait autant que moi à mes histoires. J’ai réussis à la convaincre d’arrêter de faire le trottoir. Mais je crois l’avoir plutôt menacée pour ça. Depuis que j’étais arrivé à Dover, j’étais devenu bagarreur, m’inventant un début de carrière chez les boxeurs poids plumes. Le pire, c’est que je me défendais fichtrement bien. Ce qui m’incitait à plonger encore plus dans mes mensonges. Je vivais à travers eux, je me sentais vivant. Mais je n’étais pas heureux pour autant. Je ne savais pas pourquoi, maintenant je sais, c’est parce que je me mentais à moi-même.
Il y a une seule chose, un seul sujet sur lequel je disais la vérité. C’était en ce qui concerne l’amour que je portais à Càllypso. Mes sentiments étaient vrais et pures.
Je vous aie raconté mon histoire. Mais sachez à présent que j’ai tout oublié. Mes derniers souvenirs remontent à mes 12 ans. Avant la mort de mon père. J’ai perdu la cause de ma mythomanie, car même si j’avais oublié sa mort, je savais qu’il n’était plus et que ça avait beau être triste, mais c’était comme ça. Je ne sais plus mentir, mais je sais reconnaitre les mensonges. C’est pour ça que quand la belle Càllypso m’a annoncé qu’on était ensemble depuis 5 mois, je l’ai cru. Même si je n’avais aucun souvenir d’elle. Les médecins crurent que je devrais réapprendre tous ce que j’avais appris durant ces 7 années effacées de ma vie. Mais ce ne fut pas le cas. Seuls les souvenirs s’étaient effacés de ma mémoire. Je savais toujours faire mes coktails, je savais toujours cuisiner, les gestes de ma vie quotidienne étaient revenus comme des automatismes. Mais rien du côté de Càllypso. Je ne savais pas qui elle était, mais j’étai peiné de la voir désespérer à l’idée que je ne me souvienne pas d’elle. Mais je ne pouvais pas la mettre dehors, elle avait quitté ses parents pour moi d’après elle. Je ne savais plus ce qu’elle avait fait avant de me rencontrer. J’ignore à présent qu’elle faisait le trottoir, quelques rues plus loin de chez moi. J’ignore également quel goût ont ses baisers, je n’oserai plus la touché. Ma timidité d’an temps étant revenue. Je suis devenu l’homme que j’aurai du être si je n’avais pas suivis les traces de mon père. Mais je suis devenu un peu naïf dans ma vision du monde, je suis également redevenu assez pudique et gêné à l’idée que Càllypso me surprenne un jour sous la douche… Bref, vous voyez la sombre histoire n’es-ce pas ?
Tout ça parce que j’étais avec Ian le soir où il s’est fait tué. Parce qu’ils avaient décidé de me tuer également pour éviter que je raconte tout. Car si la police ne cherchait pas plus loin, c’est parce qu’elle avait trop de suspects. Ce soir-là, je me suis battu pour protéger Ian, pour l’aider à s’enfouir, pour qu’il aille chercher de l’aide chez Shawn et les autres. Car la ville était devenue dangereuse depuis la mort d’Anna. J’avais croisé Ian, dans un sale état, alors je l’ai accompagné, une bouteille de vodka à la main. Nous marchions et pour une fois, je ne racontais pas d’histoire à dormir debout, je l’écoutais raconté ses bons moments avec Anna. J’étais tout bonnement incapable de raconté des histoires. Puis ils nous sont tombés dessus. Je me trouvais au mauvais endroit, au mauvais moment, j’ai été battu et laissé pour mort. Sauf que je vivais encore et ça, ils ne l’ont découvert que très récemment. Heureusement pour eux, je ne sais plus ce qu’il s’est passé. On m’a dit que je devais être là à la mort d’Ian, parce que j’ai été retrouvé une rue plus loin que lui, dans la même nuit. Je dois être le dernier à avoir vu Ian… Et je suis incapable de me souvenir de lui…
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“ & behind the screen? „
Prénom, pseudo ; Laloùù, quelle question.
Comment avez vous connu le forum ? ; Je n’aime pas me répéter x’)
Estimation de la fréquentation ; Pareil.
Double compte ? ; Arélia R. Duchannes =)
Un commentaire ? ; Nop’
Code; Auto-validation ! (Arélia R. Duchannes)
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Yeah, it's Càllypso E. Blackheart
CÀLLYPSO L'alcool tue lentement. On s'en fout. On n'est pas pressés
Avatar : Emily Browning
Etudes : Whaat ?!
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A Dover depuis le : 19/12/2008
| | Sujet: Re: Sage Logan Mink Mar 13 Avr - 21:04 | |
| Te quiero !
Ta fiche est magnifique, mon amour ♥
Tout le monde à vu et/ou entendu Dany Boon chanter "Laisses-moi t'aimer" ? Alors, sur l'air de "Laisses-moi t'aimer", par Dany Boon...
LAISSES-MOI... TE VALIDEEEER ! ♫ |
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